BouleNouvelle étape dans l’entreprise de démantèlement des services publics et sociaux de notre ville, menée par M. Odo, maire ultralibéral de droite de Grigny et sa majorité.
Après la suppression de la cellule de veille contre les expulsions locatives, mise en place par l’ancienne majorité de gauche, M. Odo s’attaque maintenant à la précarité énergétique, touchant comme par hasard la population la plus fragile financièrement, en supprimant l’aide qui était apportée par le CCAS, aux familles les plus démunies, afin de les protéger contre les coupures d’électricité et de chauffage.
M. Odo, il va être maintenant de plus en plus difficile pour vous de nier que vous n’aimez pas les pauvres et que vous voulez en débarrasser notre ville. Les habitants de Grigny, après votre première année de mandat, sont maintenant fixés clairement sur la politique de destruction de la ville que vous entreprenez.
Et puis M. Odo, cessez votre démagogie en répétant sans arrêt votre souci du « vivre ensemble à Grigny ». Vous ignorez le sens de cette définition.
La prochaine étape ce sera quoi ? Mais bien sûr, suis-je bête, la fermeture du Centre municipal de santé, pour laquelle vous nous expliquez en conseil municipal, avec des regrets dans la voix, que vous n’y êtes pour rien, que vous avez fait votre travail, mais que faute de combattants, le combat s’arrête.
Grignerots, Grignerotes, notre belle notion du « vivre ensemble », construite inlassablement, pierre par pierre, par l’ancienne majorité de gauche conduite par René Balme est en danger. Il est temps de réagir.
Une lectrice assidue du journal en ligne Le CITOYEN.